Rome – L’étude d’un expert italien d’un document du premier siècle écrit par l’historien romain Marcus Velleius Paterculus qui a été récemment découvert dans les archives du Vatican, a trouvé ce qui semble être le tout premier témoignage oculaire jamais enregistré d’un miracle accompli par Jésus Christ. L’auteur décrit une scène dont il a apparemment été le témoin, dans laquelle un prophète et professeur qu’il appelle Iesous de Nazarenus, a ressuscité un enfant mort-né et le présenta à sa mère.
L’historien et archiviste Ignazio Perrucci, a été embauché par les autorités du Vatican en 2012, pour trier, analyser et classer quelques 6000 documents antiques qui ont été exposés dans les chambres fortes des archives. Il était déjà très enthousiaste quand il a remarqué que l’auteur du texte n’était autre que le célèbre historien romain Velleius, mais il a été complètement abasourdi quand il a réalisé la nature du contenu.
Le professeur Perrucci a découvert le texte dans les archives du Vatican, alors qu’il fouillait un paquet de lettres personnelles et autres documents insignifiants datant de l’époque romaine.
Le texte en sa totalité est une narration d’un voyage de retour de l’auteur de Parthia à Rome en l’an 31 après JC, écrit dans un style très rhétorique sur quatre feuilles de parchemin. Il décrit de nombreux épisodes différents qui ont lieu au cours de son voyage, comme la violente tempête de sable en Mésopotamie et la visite d’un temple de Melitta (aujourd’hui Mdina, à Malte).
La partie du texte qui a vraiment attiré l’attention de M. Perrucci est un épisode qui se déroule dans la ville de Sébaste (près de la Naplouse moderne, en Cisjordanie). L’auteur décrit d’abord l’arrivée d’un grand chef en ville accompagné d’un groupe de disciples, ce qui incita beaucoup d’individus de la classe inférieure des villages voisins à aller se recueillir auprès d’eux. Selon Velléius, le nom de ce grand homme était Iesous de Nazarenus, une traduction gréco-latine du nom hébreu de Jésus, Yeshua haNotzri.
Arrivant en ville, Jésus aurait rendu visite à la maison d’une femme nommée Élischéba, qui venait de donner naissance à un enfant mort-né. Jésus a pris l’enfant mort dans ses mains et prononça une prière en araméen les yeux rivés vers le ciel, qui, malheureusement, est décrite par l’auteur comme « immensus », ce qui signifie incompréhensible. À la grande surprise de la foule, le bébé revint à la vie presque instantanément, pleurant et se tortillant comme un nouveau-né en bonne santé.
Marcus Velleius Paterculus, était un officier romain originaire de la Campanie, et semblait percevoir Jésus-Christ comme un grand docteur et faiseur de miracle, sans lui assigner d’une quelconque manière que ce soit le concept de Messie Juif.
De nombreux tests et analyses ont été réalisés au cours des dernières semaines pour déterminer l’authenticité du manuscrit. La composition du parchemin et de l’encre, le style littéraire et l’écriture ont été soigneusement examinés et ont été considérés comme tout à fait légitime. L’analyse au carbone 14 a également révélé que le parchemin en peau de mouton sur lequel le texte est écrit, fait en effet référence au 1er siècle de notre ère, plus précisément entre l’an 20 et 45 après JC.
Ce nouveau texte d’un auteur connu pour son sérieux, propose une toute nouvelle perspective sur la vie du personnage historique qu’est Jésus de Nazareth. Il confirme les Évangiles sur la base qu’il était connu pour accomplir des miracles et que sa seule présence en ville était suffisante pour attirer des foules de gens.
Une traduction complète et officielle du document devrait être disponible en ligne et en plusieurs langues au cours des prochaines semaines, mais l’impact de la découverte se fait déjà ressentir dans la communauté scientifique. De nombreux chercheurs ont déjà salué la conclusion de l’une des plus grandes découvertes jamais réalisées dans l’étude de la vie historique de Jésus, tandis que d’autres ont exprimé des doutes sur les conclusions du professeur Perrucci et exigèrent que d’autres test soient effectués par d’autres institutions scientifiques avant d’en tirer des conclusions
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